Le Séminaire diocésain de Montréal lance deux parcours souples et uniques de formation menant à l’attestation de compétences de l’Église Unie

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Le Séminaire diocésain est heureux d’annoncer le lancement de deux nouveaux parcours souples et uniques menant à l’ordination au sein de l’Église Unie du Canada. À la suite des changements récents apportés aux conditions d’ordination de l’Église Unie, le Séminaire a travaillé à la conception et à la mise en œuvre d’un plus large éventail de programmes qui permettront aux futurs étudiants et étudiantes de répondre aux exigences de l’attestation de compétences, qui est nécessaire pour l’ordination au sein de l’Église Unie.

« Nous comprenons que Dieu appelle au ministère de nombreuses personnes pour lesquelles un programme traditionnel de maîtrise en théologie peut ne pas être approprié ou possible, explique le directeur du Séminaire, Jesse Zink. Ces nouveaux programmes maintiennent la même qualité et les mêmes normes que les programmes existants, tout en prenant en considération la situation particulière de chaque étudiante ou étudiant. »

D’une durée d’un an et personnalisable selon les besoins de chacune et chacun, le programme d’attestation de compétences de l’Église Unie est destiné aux étudiantes et aux étudiants qui ont déjà fait des études théologiques. La formation peut être suivie presque entièrement à distance et permet aux étudiantes et aux étudiants de combler leurs lacunes afin de satisfaire aux exigences de l’attestation de compétences.

Le programme de licence en ministère pour l’Église Unie est d’une durée de trois ans et a été conçu pour les étudiantes et les étudiants qui ne détiennent aucun diplôme en théologie. Il est principalement axé sur la réalisation d’un stage supervisé au sein d’un ministère, en plus de comprendre des cours sur la tradition chrétienne qui peuvent être suivis à distance ou dans d’autres établissements. L’objectif de ce programme est de permettre aux étudiantes et aux étudiants d’acquérir des compétences par le biais d’un modèle d’apprentissage qui repose à la fois sur l’action et la réflexion dans un contexte ministériel particulier, et de le faire dans leur communauté d’origine si elles ou ils le souhaitent. Malgré leur souplesse, ces deux nouveaux programmes prévoient un respect absolu de la rigueur universitaire traditionnellement associée au Séminaire, selon le niveau de chaque étudiante ou étudiant et en fonction des exigences propres à l’apprentissage interculturel et à la réflexion théologique au sein d’une communauté.

Les deux programmes peuvent être suivis en anglais ou en français. « Comme les communautés de foi francophones continuent de croître au sein de l’Église Unie, nous sommes conscients de l’importance qu’un parcours souple vers le ministère soit offert en français, ajoute Jesse Zink. Ces programmes, en particulier la licence en ministère, contribueront à répondre à ce besoin. Grâce à eux, nous pouvons nous adapter aux exigences changeantes de l’Église ainsi qu’aux passionnantes mutations de la conjecture dans laquelle elle évolue. »

Depuis l’intégration de l’ancien Séminaire Uni en 2021, le Séminaire diocésain de Montréal est un établissement reconnu de l’Église Unie du Canada qui offre l’attestation de compétences. En plus de ces nouveaux programmes, le Séminaire diocésain continue d’offrir la maîtrise en théologie et le diplôme en ministère à son campus de Montréal. Ces deux programmes répondent aussi aux exigences de l’attestation de compétences.